Un réseau d‘entreprises tous corps d’état écoresponsable 

Lors du colloque d’Effinergie du 12 février 2014, Mme Cécile Duflot a réitéré l’ambition du  gouvernement de 500 000 rénovation énergétique par an dans l’habitat existant et redit son objectif d’aller vers une obligation de travaux.

Que ces objectifs soient tenus ou non, une chose est sûre, rien ne se fera sans les entreprises de travaux, des artisans, des femmes et des hommes qui sont tous les jours sur les chantiers,   qui interviennent dans les détails des mises en œuvre qui concrétisent la performance de ces bâtiments.

Il ne s’agit pas de faire comme avant, mais mieux qu’avant, de n’être pas seulement efficace mais efficient.

Mais encore faut-il que ces entreprises soient au rendez-vous. Les enjeux sont immenses mais passionnants.  Rien ne sert de culpabiliser le secteur, de railler les habitudes de ces femmes et hommes, ces traditions. Le réseau Travobio s’engage aux côtés de ces membres pour ensemble faire le mieux, apprendre les nouveaux procédés, valoriser les éco-matériaux, s’auto-former et bien sûr solidifier l’activité économique des structures. Travobio encourage chaque artisan et entreprises à faire son parcours Feebat avant juillet 2014 car l’éco-conditionnalité est une opportunité.

Travobio redonner du sens

Travobio n’est pas une start-up mais une dip-up.
C’est-à-dire que ce qui nous importe, c’est de redonner du sens, de la fierté sur les chantiers. Replonger pour retrouver le sens du geste.

L’innovation technologique, L’industrialisation massive des procédés ne sont que des outils, l’essentiel reste l’appropriation des projets par l’humain. L’innovation dans les comportements sensibles, renforçons les liens humains que nous sommes capables de créer chaque jour sur les projets. L’humain, c’est notre terrain d’action

Marie-Line Tassius,

administratrice de Travobio

et fondatrice d’Optimisme|23